Nous accompagnons différentes formes de harcèlement : harcèlement moral, harcèlement physique, harcèlement scolaire, harcèlement sexuel, cyberharcèlement, harcèlement au travail, harcèlement de rue et discrimination. Chacune a ses spécificités mais toutes peuvent avoir un impact important sur la santé mentale et le quotidien.

Vous pouvez être victime de harcèlement si vous vous sentez régulièrement rabaissé·e, humilié·e, menacé·e ou isolé·e, si vous avez peur d’aller à l’école, au travail ou dans certains lieux, si vous ruminez souvent les mêmes scènes et que votre sommeil, votre humeur ou vos relations en souffrent. Si vous vous posez la question, c’est déjà un signal important.

Vous pouvez consulter dès que la situation de harcèlement ou de discrimination a un impact sur votre sommeil, votre humeur, votre anxiété, votre confiance en vous, votre travail, vos études ou vos relations. Il n’est pas nécessaire d’attendre que la situation “dégénère” pour demander de l’aide.

Lors de la première séance, le psychologue prend le temps d’écouter votre situation : ce que vous vivez, depuis quand, avec qui, et comment cela vous affecte. Il vous pose des questions pour mieux comprendre le contexte (école, travail, famille, en ligne…) et vos attentes. Ensemble, vous définissez un cadre : fréquence des séances, modalités (présentiel ou en ligne) et objectifs de travail.

Il n’y a pas de nombre de séances “standard”. Certaines personnes se sentent déjà soulagées après quelques rencontres, d’autres ont besoin d’un suivi plus long. La durée dépend de votre histoire, de la gravité de la situation, de votre rythme et de vos objectifs. Vous pouvez en parler librement avec votre psychologue au fil du suivi.

Oui. Les psychologues et thérapeutes respectent la confidentialité des échanges, dans le cadre des règles déontologiques et légales de leur profession. Certaines exceptions existent en cas de danger grave et imminent, mais elles sont rares et, autant que possible, discutées avec vous.

Votre enfant peut être victime de harcèlement s’il ne veut plus aller à l’école, se plaint souvent de maux de ventre ou de tête, semble plus triste, anxieux ou irritable, dort mal, se renferme ou ne parle plus de sa journée. Ces signes ne prouvent pas à eux seuls qu’il y a harcèlement, mais ils montrent qu’il ne va pas bien et qu’il est important d’en parler avec lui et, si besoin, de chercher de l’aide.

Oui. Nos psychologues et thérapeutes proposent une thérapie adaptée aux enfants confrontés au harcèlement scolaire ou au cyberharcèlement, ainsi qu’aux adolescents victimes de harcèlement à l’école, en ligne, au travail étudiant ou dans leurs relations. La parole, le jeu, le dessin ou d’autres outils sont utilisés pour s’adapter à leur âge et à leur façon de s’exprimer.

Vous pouvez aussi consulter les pages : Thérapie pour enfant et Thérapie pour adolescent.

Oui. Lorsque leur enfant est victime de harcèlement, les parents peuvent se sentir démunis, inquiets ou en colère, sans toujours savoir comment agir. Un accompagnement spécifique leur permet d’exprimer leurs émotions, de comprendre ce que vit leur enfant et de réfléchir avec un professionnel à la meilleure manière d’intervenir.

Plus d’infos : Accompagnement des parents.

Oui. Plusieurs de nos psychologues et thérapeutes proposent des consultations en ligne, en plus des consultations en cabinet dans différentes régions de Belgique. La thérapie en ligne peut être une solution si vous habitez loin, avez des difficultés à vous déplacer ou préférez consulter depuis chez vous.

Les honoraires varient d’un professionnel à l’autre. Les tarifs et les possibilités de remboursement (mutuelle, assurance…) sont généralement indiqués sur la page du psychologue ou communiqués lors de la prise de contact. N’hésitez pas à poser la question directement au professionnel choisi.